LADISLAV HEJDÁNEK ARCHIVES | Cardfile

Friedrich Nietzsche (1885-86)

2 [118]
1. I. Der Nihilismus in allen Anzeichen vor der Thür.
II. Unvermeidlich, falls man nicht seine Voraussetzungen begreift. Diese sind die Werthaschätzungen (nicht die socialen Thatsachen: welche alle erst durch eine bestimmte Ausdeutung bald pessimistisch, bald optimistisch wirken)
2. III. Genesis der Wertschätzungen, als Kritik derselben.
3. IV. Die Umgekehrten. Ihre Psychologie.
4. V. Der Hammer: als die Lehre, welche die Entscheidung herbeiführt.
1. Die Gefahr der Gefahren.
2. Kritik der Moral.
3. Wir Umgekehrten.
4. Der Hammer.
(Nachlaß, in: 4582, SW Bd. 12, München-Berlin 1980, S. 120.)

Friedrich Nietzsche (1885-86)

2 [100]
Der Wille zur MachtVersuch
einer Umwerthung aller Werthe
In vier Büchern
Erstes Buch: die Gefahr der Gefahren (Darstellung des Nihilismus) (als der nothwendigen Consequenz der bisherigen Werthschätzungen)
Zweites Buch: die Kritik der Werthe (der Logik usw.
Drittes Buch: das Problem des Gesetzgebers (darin die Geschichte der Einsamkeit) Wie müssen Menschen beschaffen sein, die umgekehrt schätzen? Menschen, die alle Eigenschaften der modernen Seele haben, aber stark genug sind, sie in lauter Gesundheit umzuwandeln.
Viertes Buch: der Hammer
ihr Mittel zu ihrer Aufgabe
Sils-Maria, Sommer 1886
(Nachlaß, in: 4582, SW Bd. 12, München-Berlin 1980, S. 153.) 03-04

Ludwig Landgrebe (1958)

Heidegger leckdy upozorňoval na podněty, za které vděčí styku se Schelerem, a lze těžko pochybovat o tom, že jeho analýzy týkající se problému vůle po technicko-vědeckém panství, která určuje novověk, byly ovlivněny SDchelrem, i když tím, jak historicky a syste/122/maticky prohlubují horizont, Schelerovu koncepci přesahují. Scheler se ptá na podmínky vývoje, který přivodil nihilistickou krizi technického pojímání světa, ryze sociologicky a nejde dál než k počátku novověku. Naproti tomu jedním ze základních témat, jimiž se zabývá Heidegger, je otázka, jak souvisí vývoj novověku s předchozím údobím a se základním metafyzickým postojem Západu vůbec. Cílem jeho zkoumání je pochopit technický obraz světa a současný nihilismus jako důsledné ukončení a dovršení západní metafyziky, a ne, abychom tak řekli, jako náhodnou dopravní nehodu na její cestě.
(5672, Filosofie přítomnosti, př. Eva Stuchlíková, Praha 1968, str. 121-22.)

Koffi Cadjehoun (2011)

Une fois que l'on a dit que ce qui n'est pas existe, on est confronté à une alternative :
1) soit ce qui n'est pas n'est pas, mais alors comment expliquer le paradoxe de l'existence qui n'est pas?;
2) soit ce qui n'est pas est, mais alors comment expliquer que ce qui est soit indéfinissable depuis l'être?
L'enversion offre une réponse :
1) le non-être définit mal la partie hétérogène du réel, qui existe tout en n'étant pas l'être;
2) l'être cadre mal avec le caractère indéfinissable du réel, tout comme la reconnaissance que le réel puisse ne pas être.
Comment se fait-il que l'homogénéité n'explique pas le réel? Elle impliquerait que le réel soit construit en harmonie et qu'une de ses parties ne puisse en ignorer toute la structure. Pourtant, la structure de la connaissance est lacunaire. Elle implique l'ignorance. Le réel n'a pu se constituer que par la nécessité pour la partie instable et non-viable, artificiellement initiale, de se pérenniser en une projection elle-même friable – l'ensemble assurant la pérennité, non l'harmonie. L'enversion est dictée par l'impossibilité du reflet symétrique. La symétrie créerait le cercle, que vantent les polythéistes hindous et que Nietzsche essayera de compléter avec sa sphère plus impossible et régressive qu'innovante. L'enversion s'explique par la le fait que le reflet symétrique reproduirait du faire non-viable; tandis que l'enversion permet de rendre cohérent pour un temps le contradictoire : pour transformer l'état donné, il faut le mettre à l'envers, mais cette enversion est passagère et est perpétuelle si elle veut perdurer
Publié par Koffi Cadjehoun à l'adresse 12:40, dimanche 13 février 2011.
(Au cours du réel, blogspot.cz.)

Koffi Cadjehoun (2012)

Tandis que le rationalisme néanthéiste réfute le finalisme factuel et considère que le rationalisme est le meilleur moyen d'améliorer la connaissance par l'interprétation. Ce n'est pas la science qui permettra d'améliorer la connaissance. C'est l'interprétation rationnelle. Elle permettra de perfectionner les moyens scientifiques pour maîtriser l'espace. Le rationalisme est le moyen le plus haut pour l'homme de contacter la dimension mouvante du réel, ce qui explique que le rationalisme positiviste exprime la dégradation du rationalisme néanthéiste. Factualiser le rationalisme, c'est réduire le mouvant au fixe. Diviniser le rationalisme, c'est donner au mouvant un pouvoir accru sur le réel, par rapport au prophétisme. L'homme accède à l'espace dans le moment où il maîtrise l'homogène de l'être en lui adjoignant le faire hétérogène et le lien divin.
Publié par Koffi Cadjehoun à l'adresse 13:38 – samedi 22 septembre 2012.
(Au nom du néant, blogspot.cz.)