Archiv Ladislava Hejdánka | Kartotéka

Jean Brun (1961)

Les mathématiques traitent des êtres immuables mais non séparés (les figures des êtres immuables par leur essence, mais ils ne sont pas séparés car il n´y a pas de figures séparés de ce dont il y a figure, ni de nombres séparés des choses nombrées; cf. Phys. II 2 193 b 22 sq.); la physique traite des êtres qui on en eux-mêmes un principe de mouvement et qui sont par conséquent des êtres mobiles et séparés les uns des autres; quant à la métaphysique, elle s´occupe de l´Etre immobile et séparé (cf. Méta. E 1 1026 a 13; K 7 1064 a 28).
(6514, Aristote et le Lycée, P.U.F., Paris 1961, p. 51.)

www (2005)

Charles Hartshorne is considered by many philosophers to be one of the most important philosophers of religion and metaphysicians of the twentieth century. Although Hartshorne often criticized the metaphysics of substance found in medieval philosophy, he was very much like medieval thinkers in developing a philosophy that was theocentric. Throughout his career he defended the rationality of theism and for several decades was almost alone in doing so among English-language philosophers. Hartshorne was also one of the thinkers responsible for the rediscovery of St. Anselm's ontological argument. But his most influential contribution to philosophical theism did not concern arguments for the existence of God, but rather was related to a theory of the actuality of God, i.e., how God exists. In traditional or classical theism, God was seen as the supreme, unchanging being, but in Hartshorne's process-based or neoclassical conception, God is seen as supreme becoming in which there is a factor of supreme being. That is, we humans become for a while, whereas God always becomes, Hartshorne maintains. The neoclassical view of Hartshorne has influenced the way many philosophers understand the concept of God. In fact, a small number of scholars—some philosophers and some theologians—think of him as the greatest metaphysician of the second half of the twentieth century, yet, with a few exceptions to be treated below, his work has not been very influential among analytic philosophers who are theists.
Stanford Encyclopedia of Philosophy
First published Mon Jul 23, 2001; substantive revision Thu Dec 15, 2005

Hynek Vignon (2001)

Qui est-ce?
C'est une capitale
Avec une Tour Eiffel
Et un pont
C'est une grande capitale
Dans le pays Tchèque
Avec de belles forêts

Maurice Merleau-Ponty (1953)

La tradition est oubli des origines, disait le dernier Husserl. Justement si nous lui devons beaucoup, nous sommes hors d´état de voir au juste ce qui est à lui. A l´égard d´un philosophe dont l´entreprise a éveillé tant d´échos, et apparemment si loin du point où il se tenait lui-même, toute commémoration est aussi trahison, soit que nous lui fassions l´hommage très superflu de nos pensées, comme pour leur trouver un garant auquel elles n´ont pas droit, – soit qu´au contraire, avec un respect qui n´est pas sans distance, nous le réduisions trop strictement à ce qu´il a lui-même voulu et dit … Mais ces difficultés, qui sont celles de la communication entre les „ego“, Husserl justement les connaissait bien, et il ne nous laisse pas sans ressource en face d´elles. Je m´emprunte à autrui, je le fait de mes propres pensées: ce n´est pas là un échec de la perception d´autrui, c´est /242/ la perception d´autrui.
(Le philosophe et son ombre, in: 4149, Éloge de la philosophie, Gallimard, Paris 1960, p. 241-2.)

slovníky ()

česky: právo (od „pravé“ strany, podobně spravedlnost, správný, pravda, pravý, pravidlo atd.)
německy: Recht (od „rechte“ Seite, richtig, recht haben, Gerechtigkeit, )
anglicky: right (od right side, to be right, righteousness, též straight, correct, true, just)
francouzsky: droit (od přímý, rovný, též pravý; la droite – pravá strana)
latinsky: ius (též iurisprudentia, iustus, iustitia)